Résumé :
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Le 2 janviers 2015 le texte de cet essai optimiste arrivait aux éditions Grasset, cinq jours plus tard, son auteur, l'économiste et chroniqueur Bernard Maris était assassiné avec ses camarades dans les locaux de Charlie Hebdo.
Et si on aimait la France dresse le bilan sans complaisance mais surtout sans masochisme, d'un pays dont les citoyens ne cessent de s'autoflageller, de se croire coupables de tous les maux qui plombent leur pays. Il s'adresse à nous . Non, vous n'êtes pas coupables assène-t-il, vous n'êtes pas tous de sales racistes, de petits délinquants, de gros fainéants, ce n'est pas de votre faute s'il n'y a pas de boulot, si les villes se meurent, si le pays croule sous les dettes, si le français perd ses belles lettres. Les citoyens français sont plein de ressources et de joie qu'il suffit de révéler, ils doivent retrouver l'amour de leur patrie, voilà de quoi veut nous persuader Maris.
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