Résumé :
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" Franck, il s'appelle Franck parce que sa mère et sa grand-mère adoraient Frank Alamo (Biche, oh ma biche, Da doo ron ron, Allô Maillot 38-37 et tout ça) (si, si, ça existe...) et moi, je m'appelle Billie parce que ma mère était folle de Michael Jackson (Billie Jean is not my lover / She's just a girl etc.). Autant dire qu'on ne partait pas avec les mêmes marraines dans la vie et qu'on n'était pas programmés pour se fréquenter un jour..."
Non seulement Franck et Billie n'étaient pas programmés pour fredonner les mêmes refrains, mais en plus, ils avaient tout ce qu'il faut en magasin pour se farcir une vie bien ficelée dans la misère physique, morale et intellectuelle. Vraiment tout. Et puis voilà qu'un beau jour (leur premier), ils se rencontrent. Là où Boris Cyrulnik aurait employé les mots "gouffre" ou "résilience", Billie, quand elle est heureuse, lâche en ricanant : Et tac. Encore niquée, la vie.
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